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Livres autres que ceux des cercles
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Yvonne
Mercredi 10 Juillet 2024
« Les ombres d’Adélaïde Hills » de Kate Morton
1959. La veille de Noël, un homme fait une terrible découverte au mystérieux domaine des Turner. Une enquête policière est ouverte et la petite ville de Tumbeela est impliquée dans l'une des affaires de meurtre les plus choquantes de l'histoire de l'Australie du Sud. Soixante ans plus tard, Jess, journaliste à Londres, est à la recherche d’un sujet. Quand elle reçoit un appel de Sydney pour l’informer que sa grand-mère est à l’hôpital à la suite d’une chute, la jeune femme décide de rentrer en Australie auprès de celle qui l’a élevée. Livrée à elle-même pour la première fois dans la maison de son enfance, Jess s’aventure dans des pièces qui lui étaient interdites et trouve un livre sur la tragédie de la famille Turner. Jess découvre alors qu’il existerait un lien entre sa famille et ce crime jamais résolu…
Ce livre est comme un repas, le hors d’œuvre est long avec beaucoup d’ingrédients (personnages), le plat est correct mais là encore quelques longueurs, heureusement il y a le dessert (les 150 dernières pages sur 700 !) juste comme on les aime (les desserts) et ça laisse une bonne impression de lecture. Et comme tout dessert se mérite, j’ai bien vidé mon assiette avant !
1959. La veille de Noël, un homme fait une terrible découverte au mystérieux domaine des Turner. Une enquête policière est ouverte et la petite ville de Tumbeela est impliquée dans l'une des affaires de meurtre les plus choquantes de l'histoire de l'Australie du Sud. Soixante ans plus tard, Jess, journaliste à Londres, est à la recherche d’un sujet. Quand elle reçoit un appel de Sydney pour l’informer que sa grand-mère est à l’hôpital à la suite d’une chute, la jeune femme décide de rentrer en Australie auprès de celle qui l’a élevée. Livrée à elle-même pour la première fois dans la maison de son enfance, Jess s’aventure dans des pièces qui lui étaient interdites et trouve un livre sur la tragédie de la famille Turner. Jess découvre alors qu’il existerait un lien entre sa famille et ce crime jamais résolu…
Ce livre est comme un repas, le hors d’œuvre est long avec beaucoup d’ingrédients (personnages), le plat est correct mais là encore quelques longueurs, heureusement il y a le dessert (les 150 dernières pages sur 700 !) juste comme on les aime (les desserts) et ça laisse une bonne impression de lecture. Et comme tout dessert se mérite, j’ai bien vidé mon assiette avant !
Yvonne
Dimanche 23 Juin 2024
« L’enterrement de Serge » de Stéphane Carlier
Dans une petite église de Saône-et-Loire, on enterre Serge Blondeau et ils ne sont pas nombreux à avoir fait le déplacement. Il y a Gilberte, sa mère, qui s’apprête à faire une annonce importante, Brigitte, sa sœur, qui compte les heures avant son retour en région parisienne, Bernard, son beau-frère, qui aimerait récupérer les quatre cents francs qu’il a prêtés au défunt en 1998, et une poignée d’autres. Il faut dire que Serge n’avait rien d’inspirant. Un homme qui habite un mobile home et gagne sa vie en conduisant le minibus d’un Ehpad ne peut pas espérer des obsèques grandioses. Celles-ci seront pourtant inoubliables...
J’ai beaucoup « gloussé » dans ce roman loufoque, pas vraiment rit, l’humour est un peu grossier souvent et les clichés s’enchaînent. Mais j’ai, tout compte fait, passé un bon moment de lecture simple et sans prétention. A lire en vacances, sur une plage, ou entre deux livres plus durs.
Dans une petite église de Saône-et-Loire, on enterre Serge Blondeau et ils ne sont pas nombreux à avoir fait le déplacement. Il y a Gilberte, sa mère, qui s’apprête à faire une annonce importante, Brigitte, sa sœur, qui compte les heures avant son retour en région parisienne, Bernard, son beau-frère, qui aimerait récupérer les quatre cents francs qu’il a prêtés au défunt en 1998, et une poignée d’autres. Il faut dire que Serge n’avait rien d’inspirant. Un homme qui habite un mobile home et gagne sa vie en conduisant le minibus d’un Ehpad ne peut pas espérer des obsèques grandioses. Celles-ci seront pourtant inoubliables...
J’ai beaucoup « gloussé » dans ce roman loufoque, pas vraiment rit, l’humour est un peu grossier souvent et les clichés s’enchaînent. Mais j’ai, tout compte fait, passé un bon moment de lecture simple et sans prétention. A lire en vacances, sur une plage, ou entre deux livres plus durs.
Yvonne
Jeudi 20 Juin 2024
« Les secrets de la femme de ménage » de Freida MCFadden
- C’est une chance inespérée pour Millie d’avoir décroché un nouveau travail. Chez les Garrick, un couple fortuné qui possède un somptueux appartement avec vue sur New York, elle fait le ménage et prépare les repas dans la magnifique cuisine.
Cela paraît trop beau pour être vrai.
Le jour où Millie découvre du sang sur une chemise de nuit, elle ne peut plus rester les bras croisés. Quelque chose se trame dans cette maison. Une situation à laquelle Millie n’est pas préparée et qui pourrait bien se retourner contre elle si elle continue de vouloir découvrir les secrets des autres…
-Que la première partie est longue, ennuyeuse, redondante : j’y vais, j’y vais pas ; c’est lui, c’est pas lui ; je t’aime moi non plus, … Mais je me suis accrochée parce que je suis curieuse, je voulais connaître la fin de l’histoire. Bien m’en a pris car dans les derniers chapitres, l’action s’accélère et va crescendo.
Mais bon, je pense que c’est un roman à lire sur une plage ou par temps pluvieux
Il y a un tome 1 que je n’avais pas lu avant, pas sûr que je le lirai.
- C’est une chance inespérée pour Millie d’avoir décroché un nouveau travail. Chez les Garrick, un couple fortuné qui possède un somptueux appartement avec vue sur New York, elle fait le ménage et prépare les repas dans la magnifique cuisine.
Cela paraît trop beau pour être vrai.
Le jour où Millie découvre du sang sur une chemise de nuit, elle ne peut plus rester les bras croisés. Quelque chose se trame dans cette maison. Une situation à laquelle Millie n’est pas préparée et qui pourrait bien se retourner contre elle si elle continue de vouloir découvrir les secrets des autres…
-Que la première partie est longue, ennuyeuse, redondante : j’y vais, j’y vais pas ; c’est lui, c’est pas lui ; je t’aime moi non plus, … Mais je me suis accrochée parce que je suis curieuse, je voulais connaître la fin de l’histoire. Bien m’en a pris car dans les derniers chapitres, l’action s’accélère et va crescendo.
Mais bon, je pense que c’est un roman à lire sur une plage ou par temps pluvieux
Il y a un tome 1 que je n’avais pas lu avant, pas sûr que je le lirai.
Yvonne
Mardi 18 Juin 2024
« Les livres disparus de la cinquième avenue » de Fiona Davis
Une série de vols de livres précieux ébranle la bibliothèque publique de New York, laissant deux générations de femmes volontaires se battre pour les retrouver.
La New York Public Library y est superbement décrite et même si l’auteur nous dit que ses personnages sont tous fictifs, cette fascinante bibliothèque avec son appartement de sept pièces dans lequel ont vécu le surintendant et sa famille vaut à elle seule de lire ce roman. La double temporalité et ses deux héroïnes fortes et attachantes m’ont captivée, ainsi que l’écriture fluide et addictive.
Merci pour ce prêt Arlette.
Une série de vols de livres précieux ébranle la bibliothèque publique de New York, laissant deux générations de femmes volontaires se battre pour les retrouver.
La New York Public Library y est superbement décrite et même si l’auteur nous dit que ses personnages sont tous fictifs, cette fascinante bibliothèque avec son appartement de sept pièces dans lequel ont vécu le surintendant et sa famille vaut à elle seule de lire ce roman. La double temporalité et ses deux héroïnes fortes et attachantes m’ont captivée, ainsi que l’écriture fluide et addictive.
Merci pour ce prêt Arlette.
Yvonne
Lundi 10 Juin 2024
"Un lundi parfum matcha" de Michiko Aoyama
De Tokyo à Kyoto, Michiko Aoyama nous offre un délicat roman sur la beauté et la fragilité des relations humaines. A déguster comme une douceur dans un monde de brutes.
De Tokyo à Kyoto, Michiko Aoyama nous offre un délicat roman sur la beauté et la fragilité des relations humaines. A déguster comme une douceur dans un monde de brutes.
Claudine
Lundi 03 Juin 2024
Dans mon obscurité de Valentin Musso
Ludivine 17 ans est entraînée par un garçon dans une relation dangereuse…
Emma 24 ans mène une vie paisible….
Zora 34 ans lieutenante à la « Crim' » rouvre une vieille affaire non élucidée et met à jour une terrible vérité
Suspense assuré….
Ludivine 17 ans est entraînée par un garçon dans une relation dangereuse…
Emma 24 ans mène une vie paisible….
Zora 34 ans lieutenante à la « Crim' » rouvre une vieille affaire non élucidée et met à jour une terrible vérité
Suspense assuré….
Yvonne
Dimanche 02 Juin 2024
"Patagonie, route 203" de Eduardo Fernando Varela
- Une histoire étrange avec un étrange chauffeur, Parker, qui sillonne la Patagonie à bord d'un camion dont il n'a pas les papiers, transportant des marchandises non déclarées pour le compte d'un obscur patron qui l'emploie illégalement. Au premier degré je dirais que c’est une histoire sans queue ni tête, me perdant souvent dans cette Patagonie habitée plus par le vent que par des humains. En creusant un peu, on sent le mal-être des personnages : Parker qui étreint son idéal de liberté, Maytén qui aspire à une vie de famille stable et paisible, et l'ami journaliste qu'ils croisent et recroisent qui ne cesse de se passionner pour une nouvelle chimère. Je ne sais si j’ai ou non aimé ce roman.
- Une histoire étrange avec un étrange chauffeur, Parker, qui sillonne la Patagonie à bord d'un camion dont il n'a pas les papiers, transportant des marchandises non déclarées pour le compte d'un obscur patron qui l'emploie illégalement. Au premier degré je dirais que c’est une histoire sans queue ni tête, me perdant souvent dans cette Patagonie habitée plus par le vent que par des humains. En creusant un peu, on sent le mal-être des personnages : Parker qui étreint son idéal de liberté, Maytén qui aspire à une vie de famille stable et paisible, et l'ami journaliste qu'ils croisent et recroisent qui ne cesse de se passionner pour une nouvelle chimère. Je ne sais si j’ai ou non aimé ce roman.
Yvonne
Mercredi 22 Mai 2024
" Le neveu d'Amérique" de Luis Sepúlveda - Enfant, Luis Sepúlveda a fait une promesse à son grand-père : retourner un jour en Andalousie, à Martos, le village d'où celui-ci partit pour l'Amérique. Mais avant d'y parvenir, notre infatigable voyageur aura parcouru le continent latino-américain en pratiquant toutes sortes de métiers. Il aura rencontré nombre de gens aux destins singuliers. Il aura subi les systèmes totalitaires et vécu quelques histoires aux allures fantastiques.
Avec ces récits, Luis Sepúlveda nous fait partager, au fil de multiples péripéties, une vie d'errances, de rêves et d'engagements, où à la beauté du réel s'allie une imagination foisonnante.
Avec ces récits, Luis Sepúlveda nous fait partager, au fil de multiples péripéties, une vie d'errances, de rêves et d'engagements, où à la beauté du réel s'allie une imagination foisonnante.
Arlette
Mercredi 15 Mai 2024
Le Barman du Ritz de Philippe Collin.
Toute une facette historique d’une époque troublée. Entre collaborations, trafics en tout genre, faux papiers qui ont marqué l’histoire. Sacha Guitry, Coco Chanel, la terrible veuve du Ritz et bien d’autres’ qui vont s’aimer’ se trahir’ lutter aussi pour une certaine idée de la civisiliation.
Toute une facette historique d’une époque troublée. Entre collaborations, trafics en tout genre, faux papiers qui ont marqué l’histoire. Sacha Guitry, Coco Chanel, la terrible veuve du Ritz et bien d’autres’ qui vont s’aimer’ se trahir’ lutter aussi pour une certaine idée de la civisiliation.
Yvonne
Mercredi 15 Mai 2024
La dernière maison avant les bois
Catriona Ward
J'ai laissé passer un jour et une nuit avant de faire ce mot. J'en suis arrivée à la conclusion que je n'étais sûrement pas assez intelligente pour comprendre cette histoire. de plus, j'ai un gros défaut : j'aime les "belles lettres"! J'ai donc détesté ce mélange de masculin /féminin, singulier/pluriel, tutoiement / vouvoiement pour un même objet ou une même personne. (Je me suis parfois demandé si le traducteur parlait un Français correct.) Que dire, voilà une lecture qui m'a pesée , seule l'épilogue m'a intéressée et que je vais très vite oublier.
Catriona Ward
J'ai laissé passer un jour et une nuit avant de faire ce mot. J'en suis arrivée à la conclusion que je n'étais sûrement pas assez intelligente pour comprendre cette histoire. de plus, j'ai un gros défaut : j'aime les "belles lettres"! J'ai donc détesté ce mélange de masculin /féminin, singulier/pluriel, tutoiement / vouvoiement pour un même objet ou une même personne. (Je me suis parfois demandé si le traducteur parlait un Français correct.) Que dire, voilà une lecture qui m'a pesée , seule l'épilogue m'a intéressée et que je vais très vite oublier.