Pris de remords après l'assassinat d'une femme qui l'avait vainement sollicité pour retrouver l'enfant qu'elle a abandonné cinquante ans plus tôt, Konrad décide de se racheter.
Débute alors une enquête sinueuse qui mènera l'ex-policier usé par la vie sur les traces d'un passé douloureux Mélancolique et introspectif, ce troisième volet de la série Konrad combine magistralement suspense et émotion.
La série Konrad s'inscrit dans la tradition si passionnante du polar islandais. Mais son héros retraité et sa tonalité mélancolique et désenchantée la rende très singulière.
Comme à chaque roman d'Indridason, on découvre de nouvelles zones d'ombre de la société islandaise.
Suspense et émotion garantis dans ce polar islandais signé Arnaldur Indridason
Arnaldur Indridason
En 1996, Arnaldur Indridason obtient un diplôme en histoire à l’université d'Islande. Journaliste au Morgunblaðið en 1981-1982, il devient scénariste indépendant. De 1986 à 2001, il travaille comme critique de films pour le Morgunblaðið. Aujourd'hui, il est l'auteur de seize romans policiers dont treize ont été traduits en français — dont plusieurs sont des best-sellers. Il vit à Reykjavik avec sa femme et ses trois enfants et est le fils de l'écrivain Indriði G. Þorsteinsson. Les deux auteurs ayant fortement influencé Arnaldur Indriðason sont Maj Sjöwall et Per Wahlöö, deux écrivains suédois qui ont imaginé, dans les années 1960, les aventures de l'inspecteur Martin Beck
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